Pour y parvenir [à atteindre les 20 objectifs de la déclaration d’Aichi, adoptée en octobre 2010 par les 196 États parties à la Convention sur la diversité biologique], le besoin de financement au niveau mondial a été estimé, au bas mot, à 135 milliards d’euros par an, trois fois les efforts actuellement consentis, évalués à 48 milliards d’euros annuels. Les sources d’argent public se tarissant, les acteurs de la conservation cherchent de plus en plus à mobiliser des fonds privés, entre autres via des dispositifs de paiement pour services environnementaux. [...] >> Lire la chronique en ligne [sur abonnement] [...]
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