L’urbanisation a et aura lieu principalement dans des villes en développement et hors du cadre formel de planification, d’où la nécessité de repenser les modes d’action urbaine. La prise en compte des dynamiques informelles comme une perspective transversale au sein du Nouvel Agenda Urbain pourrait apporter des orientations en termes d’outils et de stratégies publiques pour « ne laisser personne de côté ». [...] >> Lire la tribune en ligne [...]
Read the op-ed