Un « point de vue » de Julien Rochette dans le 10e numéro de BIODIV’2050, « Biodiversité marine : usages et dépendances », publié par la Mission Économie de la biodiversité de CDC Biodiversité.
Extrait :
« La première spécificité de gestion du milieu marin réside dans la fragmentation des institutions compétentes et des instruments juridiques existants. [...] La zone côtière et littorale, par exemple, est une zone de confrontation des compétences [...] Il y a donc un fort enjeu de coordination des politiques sectorielles et des institutions, à l’échelle internationale comme à l’échelle nationale. »
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