Une intervention de Thomas Spencer dans le cadre de la première séance (« De Kyoto à Paris, une nouvelle donne ? ») du cycle « Défi climat 2014 » organisé par l’Institut de formation de l’environnement (IFORE) et l’Institut de la gestion publique et du développement économique (IGPDE), en partenariat avec la Direction générale de l’Énergie et du Climat (DGEC) et la Chaire Économie du climat de l’université Paris Dauphine.
Présentation de la séance n°1 :
« La France a été officiellement nommée à Varsovie pays hôte de la 21e Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques en 2015, date à laquelle doit être conclu un nouvel accord internationnal. La Présidence de la République se réjouit de l’aboutissement de cette candidature, malgré le contexte difficile des négociations climatiques et précise que "la France est d’ores et déjà totalement mobilisée pour qu’un accord universel contraignant, équitable, soit conclu sur le climat à Paris en 2015, de façon à contenir le réchauffement climatique à 2 degrés Celsius d’ici 2100".
> Quelles sont les attentes et comment parvenir à cet accord global en 2015 ?
> Quels obstacles, tant au niveau européen qu’international, à l’atteinte des objectifs ?
> Quels sont les enjeux pour la présidence française ?
Questions auxquelles nous essayerons de répondre au cours de cette journée en examinant le contexte dans lequel se dérouleront ces négociations internationales. »
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