La mondialisation suscite des craintes auxquelles ont tenté de répondre les Partis politiques français en affirmant l'inviolabilité des normes sociales.
Cet article analyse tout d'abort ces craintes et les réponses qu'ont tenté d'y apporter les deux candidats lors de la dernière élection présidentielle, sous forme de protection sociale par le droit de douane et de TVA sociale. L'auteur soulève ensuite la question de l'inclusion des normes sociales à l'OMC et les interrogations que cette intégration suscite.