Un atelier organisé par la Division de l’environnement et des affaires maritimes du Ministère des Affaires étrangères du Chili et la National Geographic Society.
Le changement climatique constitue un défi majeur pour l’océan, menaçant sa biodiversité et les moyens de subsistance qui en dépendent. En même temps, l’océan est une composante clé du système climatique, apportant résilience et limitant les impacts sur les terres. Dans un contexte où l’accord de Paris constitue le nouveau cadre d’action climatique mondial, nous devons tenir compte des conséquences du changement climatique sur l’océan.
Pour mieux comprendre la façon dont les pays pourraient intégrer la résilience océanique dans leurs NDC, il est important de comprendre l’efficacité des mesures de conservation, les outils de gestion par zone (tels que les aires marines protégées – AMP), ainsi que d’examiner comment les Parties à la CCNUCC pourraient recevoir la meilleure orientation pour inclure des actions pertinentes dans leurs NDC.
Le but de cet atelier est de profiter de la dynamique générée par l’initiative « Parce que l’océan » à la COP21, d’identifier les défis liés à l’inscription de l’océan à l’ordre du jour de la CCNUCC, et de développer les scénarios possibles pour aborder les questions liées à l’océan à travers l’action climatique dans le cadre de l’Accord de Paris. Il réunira des négociateurs sur le climat et des océanographes.
Teresa Ribera modérera la première table ronde : « Les impacts du changement climatique sur l’océan doivent-ils élever le niveau d’ambition de l’action climatique ? », et Julien Rochette participera à la deuxième table ronde sur le thème « Comment l’océan peut-il être inclus dans les NDC des pays ? ».
Atelier sur invitation uniquement