Une intervention de Michel Colombier dans le cadre du colloque « Recherche scientifique et démaocratie » organisé par le Centre d'Alembert (Centre interdisciplinaire d’étude de l’évolution des idées, des sciences et des techniques).
Présentation du colloque :
« [...] Nous questionnerons la prise en compte des spécificités de la science comme pratique sociale et les contraintes liées à son objectif de production de connaissances épistémiquement solides. Nous explorerons des voies possibles de renouvellement de la recherche scientifique. Les intervenants sollicités représentent les disciplines de recherche scientifiques et technologiques qui sont "parties prenantes" aux avancées et aux débats (sciences de l’ingénierie, sciences de la nature, sciences de la société), mais aussi productrices de nouveaux questionnements (juristes, politistes, historiens et philosophes, spécialistes de communication, de culture, d’éducation…) sur les différentes formes de démocratie et les relations qu'elles peuvent entretenir avec la recherche scientifique. »
Présentation de l'intervention de Michel Colombier :
« Les procédures d’association du public aux choix scientifiques, technologiques et sectoriels se multiplient depuis quelques années, et prennent des formes diverses (expertise, débat public, comités citoyens etc). S’agit-il, comme certains l’affirment, d’un "effet de mode" ? Quelle est la valeur ajoutée de ces consultations ? Que peut apporter un regard "profane" dans des débats pointus de spécialistes ? Comment mettre une question en débat ? L’intervention s’appuie sur plusieurs expériences récentes dans le domaine énergétique notamment pour explorer ces différentes questions. »
>> Le programme du colloque sur le site du Centre d'Alembert