« Le changement climatique domine désormais l'agenda international et bénéficie d'une mobilisation exceptionnelle, comme en témoigne la décision récente de consacrer à cette cause le prix Nobel de la paix. Cette mobilisation va-t-elle suffire à relancer le processus de négociation, en panne depuis le refus des États-Unis de ratifier le protocole de Kyoto ? C'est possible, mais cela suppose, pour l'Europe en particulier, de faire évoluer ce processus et de faire évoluer le cadre de la négociation. »