« Le projet de loi sur la biodiversité, qui vient d’être voté par l’Assemblée nationale, a été mis en chantier dans un contexte de poursuite, voire d’accélération de la perte de biodiversité dans le monde. Il reste ainsi capital qu’en parallèle des initiatives prises pour la transition énergétique, la France mette à jour et renforce sa politique de biodiversité. Étrangement, les dispositions concernant le financement de cette loi n’ont pas fait couler beaucoup d’encre, contrairement à d’autres, comme celles liées à la compensation. Elles sont pourtant cruciales pour l’avenir de la politique de biodiversité. Dans leur très grande majorité en effet, les financements de cette politique proviendront de la facture d’eau potable et d’assainissement des ménages et des entreprises, car ce sont les agences de l’eau qui financeront principalement la future Agence française de la biodiversité. [...] » >> Lire la tribune en ligne [...]
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