L'Europe et la Chine commencent à comprendre l'intérêt d'un partenariat sur des dossiers clés de la 3e révolution industrielle. Cependant, les projets pratiques semblent devoir passer par une « porte étroite » entre une Europe qui a fait le choix unique au monde de restriction monétaire alors que les projets pour l'investissement productif y existent, et une Chine aux solides réserves de change mais qui ne peuvent être investies domestiquement. Les intérêts communs sont pourtant clairs : la Chine présente certes un large marché domestique mais a toujours besoin d'attirer des entreprises internationales dans son « écosystème industriel et d'innovation ». Entre elle et une Europe dont les entreprises innovent, les complémentarités en termes économiques et de capacités techniques et industrielles passent par l'innovation financière. Il faut imaginer les mécanismes internationaux qui permettront à une région de participer au développement de l'autre. >> Lire l'intégralité de l'article en ligne [...]
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